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Dans le jardin :

 

> L'arrosage :

un jardin potager

  • En été, arroser dans la soirée
    Lorsque les températures sont plus fraîches vous minimisez l'évaporation et donc vous augmentez l'efficacité de votre arrosage. Par contre, en automne, arroser le matin afin d'éviter le gel de la nuit. N'oublions pas que l'arrosage peut représenter la moitié de la consommation d'eau !
  • En été, penser à biner la terre avant d'arroser
    Vous évitez ainsi une évaporation trop importante, votre arrosage en est plus efficace et sera donc moins gourmand en eau.
  • Arroser moins et mieux !
    Plutôt que d'arroser en dispersant sans efficacité une eau qui devient plus en plus précieuse avec les sécheresses successives, vous pouvez utiliser des tuyaux poreux qui fournissent directement de l'eau au pied de vos plantations ou encore une bouteille en plastique coupée en deux dont l'ouverture sera plantée dans la terre. Dans ce dernier cas, vous remplirez l'entonnoir ainsi créé d'une eau qui pénétrera doucement dans la terre.
  • Récupérer les eaux pluviales pour de multiples usages domestiques
    L'eau de pluie, qui sera récupérée dans un conteneur assez volumineux, peut par exemple être utilisée pour l'arrosage du jardin, le lavage de la voiture (qui réclame en moyenne 200 l d'eau). En récupérant l'eau de pluie vous en consommez moins, ce qui est bien pour le porte-monnaie, les nappes phréatiques fortement sollicitées et allège les stations d'assainissement d'eau qui consomment de l'énergie, des produits chimiques. Notons qu'un arrosage consomme de 15 à 20 l d'eau par m².
    Pour autant, en France, il n'est pas permis d'exploiter les eaux pluviales pour nos usages domestiques qui réclament plus de salubrité.
  • Ne pas arroser nécessairement votre pelouse
    Pourquoi s'obstiner à conserver une pelouse bien verte et fraîche en été ? Au prix d'une consommation d'eau excessive et souvent irraisonnée lors de sécheresses... La nature se remet très bien de nos quelques étés trop chauds et vous retrouverez une verdure une fois le déficit hydrique passé.

> Le jardin :

une tondeuse à main

  • Composter vos déchets verts
    Vous pouvez ainsi alimenter en humus d'autres parties de votre jardin sans apports extérieurs enrichis en engrais. Ce qui soulage le porte-monnaie, n'entretient pas le cycle des déchets verts mis en décharge et contribue à un bon équilibre en éléments nutritifs pour votre jardin. C'est finalement le cycle naturel de la vie végétative qu'il faut conserver.
  • Préserver un espace plus sauvage et naturel
    C'est en laissant la nature faire que se développent une flore et une faune locales plus diversifiées et appréciables. Vous serez surpris de constater la présence de nouvelles fleurs qui n'on rien à envier à celles que l'on achète communément. Pour cela, il ne faut aucun traitement ni débroussaillements excessifs. Ces espaces sont particulièrement importants en ville où leur absence nuit notamment aux populations d'oiseaux privées de nourriture.
  • Utiliser des insectices biologiques
    Dans un premier temps, renseignez vous bien sur la nocivité potentielle des insectes visés : certaines espèces sont présentes en grande quantité mais ne représentent aucun risque pour votre jardin. En cas de doute, vous pouvez poser vos questions sur nos forums de discussions .
    Ensuite, il existe des plantes répulsives (oeillets d'Inde, ciboulette, oignons, ail, basilic, dahlia), des purins à base de végétaux ou d'eau savonneuse pour éloigner les insectes indésirables. Pour les pucerons, procurez vous des coccinelles qui s'en nourissent.
  • Eviter au maximum les désherbants chimiques
    Les jardiniers en herbe sont aussi d'importants consommateurs de pesticides dont les caractéristiques souillent durablement notre santé. Ils sont ainsi responsables de 25% de la pollution des eaux de surfaces et des nappes souterraines ! En effet, les traitements que vous appliquez sur les plantes de votre jardin perdurent, se répandent et sont un risque important pour les personnes (notamment les enfants) et les animaux vivant à proximité (comme les animaux de compagnie).
    Plusieurs solutions possibles : désherber à la main, ce qui entretient votre physique et à le mérite d'être sélectif dans les espèces supprimées ; utiliser de l'eau bouillante (2 litres pour 4 m²) qui est aussi efficace qu'un désherbant chimique mais tue la vie macro et microscopique qui participe à l'enrichissement et l'entretien de la terre.

  • Utiliser une tondeuse à main, sans électricité ni carburant
    Les avantages sont nombreux : aucune dépense d'énergie et donc pas de pollution, un peu d'efforts (nous manquons d'exercice), les herbes coupées forment un tapis dans le jardin qui protège et favorise les pousses suivantes, pas de bacs pleins d'herbes à vider dans la poubelle des déchets "verts", peu de bruit, maniable. Attention : la coupe est un peu difficile lorsque l'herbe est trop haute.

> Des professionnels à votre service :

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